27 février 2007
3 jours plus tard.
Loin, trés loin, d'un bulletin cyclone horaire, il m'a fallu 3 jours pour sortir de la maison (aprés élagage et débitage de tout ces arbres et palmiers (le coco de l'entrée est mort décapité, moche) gisant sur le bitume), courir en ville avant la nouvelle alerte rouge, me battre avec les hordes de créoles pour trouver de l'eau, du pain et des bougies (des éclairs aux chocolats).
La bière est en rupture de stock depuis longtemps. Encore un coup du dur.
Donc plus d'éléctricité, d'eau et de téléphone = pas de "post" ni photos (et pourtant j'en ai qqs unes de la tempête assez, comment dire, assez bonnes. Désolé. Une en particulier avec un Kway rouge...).
Pas de téléphone portable non plus, alors merci aussi pour les coups de fils et le "votre boite vocale contient 23 messages et 18 appels en absence", mais je le téléphone est kaput.
En tout cas c'est l'horreur, bien trop humide et venteux pour un charles, fraichement revenu au pays et ré-actimaté à vos températures pourtant dégueulasses.
Demain je me plie en quatre pour un message photographique tout en cyclone.
Gamède de merde.
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